Courts-métrages Programme 1 CinéBaltique

Courts-métrages Programme 1 CinéBaltique

Un film de Ignas Meilūnas, Roberts Vanags, Edmunds Jansons, Ieva Šakalytė, Evridiki Papaiakovou, Sander Joon

  • Programme de courts métrages
  • 01h17
Synopsis
Le cinéma balte avait déjà son festival à New-York, Londres, Berlin… Il est désormais à Paris !
Du 6 au 9 février 2025, la 1ère édition de CinéBaltique - Festival des cinémas estonien, letton et lituanien, s'installe au cœur de la capitale, au cinéma L’Arlequin (76 Rue de Rennes, 75006 Paris).

Programme de courts-métrages 1 :
HOOFS ON SKATES de Ignas Meilūnas (Lituanie - Animation - 12min)
Dans un pays hivernal merveilleux, deux amis s’éclatent en patins à glace sur un lac gelé, quand soudain un monde étrange et inquiétant s’ouvre en-dessous d’eux : ils doivent apprendre à faire avec l’altérité, sans laisser la peur les gouverner.

NORTH POLE de Roberts Vanags (Lettonie - Fiction - 22min)
Le jeune vendeur de glaces Max aspire à devenir musicien de techno. Avant de monter et de se produire sur la scène d’un club de rave, une peur paralysante le saisit et l’embarque de force au cœur d’un voyage introspectif et visuel.

FREERIDE IN C de Edmunds Jansons (Lettonie - Animation - 10min)
La quiétude blanche des montagnes est perturbée par les amateurs de sports d’hiver colorés, qui aiment skier en descente.

SPA de Ieva Šakalytė (Lituanie - Fiction - 12min)
Quatre femmes épuisées se rencontrent accidentellement au centre SPA, où elles se mettent dans des situations inconfortables et font face pour la première fois à leurs problèmes personnels. Un cinquième personnage, le centre SPA lui-même, essaie d’être parfait, en vain.

POPPY FLOWERS de Evridiki Papaiakovou (Estonie - Animation - 5min)
Se souvenir est un processus fluide. Une fille tente de se réconcilier avec sa mère grâce aux souvenirs de leurs rituels partagés, révélant les aspects complexes de leur relation.

SIERRA de Sander Joon (Estonie - Animation - 16min)
Un père et son fils sont en train de perdre la course. Pour prendre la première place, le garçon se transforme en pneu. Une évocation de la masculinité toxique, teintée d'ironie, qui nous entraîne dans l'univers fabuleux des courses automobiles. Librement inspiré de l'enfance de l'auteur, le film comprend une séquence en stop-motion animée par son père à l'époque de l'Estonie soviétique.