Sexe sans consentement
Delphine Dhilly , Blandine Grosjean
Documentaire
0h50
Pour la première fois, un documentaire, cosigné par Blandine Grosjean et Delphine Dhilly, aborde cette « zone grise » de la sexualité sans consentement. Six femmes revivent cet instant où elles n’ont pas réussi à repousser l’autre, à se faire entendre, avant de subir un rapport sexuel non désiré... Des femmes qui, depuis, ont appris à faire entendre leur voix !
À visages découverts, six femmes osent briser un tabou. Celui d’une relation sexuelle non consentie. Une histoire traumatisante sur laquelle il leur a fallu poser des mots, exprimer un ressenti et surtout rappeler que l’autre n’avait rien d’un violeur, d'un prédateur sexuel. C’était un ami, une connaissance, un flirt, un futur mari, qui, ce jour-là, a choisi d’aller plus loin alors qu’elles ne le souhaitaient pas. Elles parlent de cet autre qui n’a pas su écouter, comprendre, entendre, décrypter. Un autre qui, sans menace ni violence, est parvenu à ses fins. Leurs propos font écho, s'entrechoquent. Chaque histoire est unique et, pourtant, en ressortent une même incompréhension, un même malaise. « Personne ne leur a dit que ce n’était pas un bon signe qu’elle ne bouge plus, ne parle plus, ne répond pas. C’est un mécanisme de défense... Mais ça, personne ne l'explique », rapporte l'une d'entre elles, qui avait 17 ans à l'époque des faits. Et ce même constat, à chaque fois : se laisser faire pour éviter que cela dégénère...
À visages découverts, six femmes osent briser un tabou. Celui d’une relation sexuelle non consentie. Une histoire traumatisante sur laquelle il leur a fallu poser des mots, exprimer un ressenti et surtout rappeler que l’autre n’avait rien d’un violeur, d'un prédateur sexuel. C’était un ami, une connaissance, un flirt, un futur mari, qui, ce jour-là, a choisi d’aller plus loin alors qu’elles ne le souhaitaient pas. Elles parlent de cet autre qui n’a pas su écouter, comprendre, entendre, décrypter. Un autre qui, sans menace ni violence, est parvenu à ses fins. Leurs propos font écho, s'entrechoquent. Chaque histoire est unique et, pourtant, en ressortent une même incompréhension, un même malaise. « Personne ne leur a dit que ce n’était pas un bon signe qu’elle ne bouge plus, ne parle plus, ne répond pas. C’est un mécanisme de défense... Mais ça, personne ne l'explique », rapporte l'une d'entre elles, qui avait 17 ans à l'époque des faits. Et ce même constat, à chaque fois : se laisser faire pour éviter que cela dégénère...